Mais toi !

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Mais toi maintenant tu es,
Tu es cette plume légère
Que le vent berce et apaise

Une brise légère
Réveillée au printemps naissant
Dans ton coeur enfin la lumière

Les larmes et le chagrin
Ont fait place à la douceur de croire
Au bonheur d'espérer
Que Cupidon a de belles armes

Une flèche lancée au hasard
Des tourments de ta vie passée
Panse déjà les affres d'un gougeât
Qui n'a jamais su ce que voulait dire
"Aimer"

Sereine et toujours plus belle
Femme sensuelle et épanouie
La vie t'ouvre de nouveau ses bras
Et t'inonde de tendresse ...

Il est des hommes comme le vent
Celui qui brise ,
Celui qui caresse ,
Le vent est mort, Vive le Vent !!!

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Poeme de Marianne